Bad boy what you gonna do when he come for you ;)____Anton.

Anton Jay Harris.
blood sucker heartbreaker.

• Miroir, mon beau miroir, dis moi qui est la personne la plus attirante de cette Terre ?

Lui, sans aucuns doutes. Enfin en tous cas c'est ce qu'il pense, alors ne venait pas lui prendre la tête à le traîter de prétentieux, il risquerait de vous répondre qu'avec un corps comme le sien, c'est seulement du bon sens.
Anton est grand, même s'il ne l'a pas toujours été. Il vous fait des dunks à vous coupez le souffle et quand il s'étire au moment du réveil on dirait plutôt un ours debout sur ses pattes, les griffes en l'air (position assez complexe pour un ours en bas âge, certes) qu'un être humain dit "normal". Et ses cheveux blonds. Ca pourrait presque le faire passer pour un ange, ces crins d'or soyeux et doux, toujours coiffés à l'arrache avec autant de patience qu'un gamin de deux ans.
Quand aux yeux, surtout ne vous y fiez pas, ils sont très trompeurs. Allé, des beaux yeux clairs, entre le vert et le bleu, généralement c'est bon signe. Sauf chez lui. C'est sa meilleure arme pour faire chavirer les coeurs de toutes les filles du Canada, alors surtout, surtout, faîte attention. NON il n'y a pas de gentil garçon en manque d'affection derrière ce regard intense, non, non, non, ne tombez pas dans le panneau ! Bien que ce soit dur, je sais, et ces abdos minucieusement travaillés n'aide pas non plus. Car en effet, Anton est un grand sportif dans l'âme. Football, natation, basket, baseball, il est incolable et très doué, il faut l'avouer.
En dehors de ce physique assez attirant, de ces muscles harmonieux et de sa gueule d'ange, Anton est pourtant un véritable démon grandeur nature. Non seulement ses airs de frimeur bourré de confiance en lui lui porte chance jours et nuit, mais en plus il joue de son charisme et de sa facilité à draguer sans regrets les plus jolies filles, sans oublier sa autre passion : fumer jours et nuits. Ce qui lui vaut parfois quelques points en moins auprès de la gente déminine mais il s'avère que son apparence et son sal caractère en plus de son attitude de mauvais garçon rattrape largement le coup. Dommage.


• C'est son caractère qui fait à chacun sa destinée.

Ouais c'est pas faux. Surtout quand on voit le rapport caractère/destin d'Anton Harris, glandeur/dragueur/crâneur professionnel le jour, buveur de sang la nuit... Huum... Vous le voyez le rapport là, vous ? Personellement, je pense très sincérement que ce type est complètement à la ramasse, à côté de la plaque, out. Je vais pas vous faire un dessin. Et pourtant tout le monde l'aime. Ne me demandez pas pourquoi, ça serait comme me demandez pourquoi tout le monde aime le chocolat. C'est exactement pareil, sauf que dans ce cas ci, c'est Anton, le chocolat. Pour les filles comme pour les mecs d'ailleurs, c'est une sorte d'aimant social qui vous colle à la peau jusqu'à ce que vous vous sentiez assez proche de lui pour ne pas tenter de le manger tout cru.
Les filles le voient comme un gars canon, avec la dose de charme et d'humour. L'idéal masculin, ou presque. Enfin, surtout presque parce que certaines jouent leurs cartes de l'inaccessibilité pour un Casanova dans son genre, seulement c'est pas une bonne idée, étant donné qu'il adore relever les challenges. Résultat : c'est sur vous qu'il s'acharne, et pour finir, il vous a et ça remonte encore plus son orgueil. Bravo.
Bref, passons le célèbre don Juan et les nombreux charmes qu'il a en sa possession, parlons personnalité, la vraie et douloureuse. Anton est avant tout un ami particulièrement fidèle. A partir du moment où vous êtes considéré comme tel (ce qui n'arrive pas si souvent que ça quand on fait le point par rapport à toutes ses connaissances), vous devenez comme un frère ou une soeur. Ca c'est clair il ne fait pas les choses à moitié. Et d'ailleurs, même si la loyauté envers les femmes n'est pas vraiment son objectif premier ces derniers temps, je peux vous assurer qu'il en fera de même pour sa prochain amour, si ce n'est pas jusqu'à pousser ce sentiment jusqu'à l'extrême.

De plus, c'est le genre de mec à ne jamais rien répéter, une vraie tombe, même s'il ne vous porte pas dans son coeur. Finalement c'est une bonne personne. Même très bonne, mais jamais il ne l'acceptera devant quelqu'un, son image de mauvais garçon lui tient trop à coeur, pas la peine de voir tout ce boulot partir en fumée pour une casquette d'ange. Tiens, en parlant de fumée, il en consume beaucoup, pour ne pas dire assez pour mourir d'un cancer à la quarantaine. Ses amis lui conseille tout le temps de réduire, mais c'est le seul truc qui le fait décompresser, et quand il est accroc à quelque chose, il le lâche pas, cigarette ou personne doté d'un coeur et d'un cerveau.
Je ne dirais pas que c'est un tendre, mais quand même, sachez fair la part des choses, il n'est pas non plus cette enflure avec les filles qu'il prétend être. A vrai dire il déteste faire du mal aux autres, et pour être encore plus précis, voir quelqu'un d'autre pleurer est un vrai supplice pour lui, surtout quand c'est une fille qui verse des larmes.
Bien sûr, il fait n'importe quoi, autant avec sa santé qu'avec ses amis, c'est pratiquemment le casse-cou le plus célèbre du coin, faire des conneries, il sait faire, contrairement à la cuisine.





• On a tous nos petits secrets, et toi quel est ton histoire ?



- Tu te fou de moi ?!!
- J'ten pris Eric, calme toi, s'il te plaît, les enfants dorment !
- PARDON ? "Les enfants dorment" ? Mais c'est une blague ?! Je te prends la main dans la sac et tu me parles de gosses ?!
- Allons parler de ça dehors, je ne veux pas qu'ils entendent.
- Ha ! Pauvre gamins, leur mère ce tape une streap teaseuse derrière le dos de leur père, celui qui se casse le cul pour vous acheter cette saloprie de baraque, et celui qui est cocu ! Merde alors !
- Eric arrête !

Trop tard. Anton avait déjà tout entendu. Caché derrière l'escalier surdimensionné, il venait de voir la pire scène de toute sa petite vie. Les yeux remplis de larmes, il essayait de ne pas pleurer, sans trop avoir de raisons, comme s'il n'y avait que ses larmes qui le retenaient de toucher le fond.
Sa mère était belle, d'ailleurs elle lui ressemblait un peu, avec de longs cheveux blonds et des yeux verts magnifiques et attractifs. Pas étonnant qu'elle se soit trouvé quelqu'un de plus jeune et de plus attirant que son vieux père plein aux as et toujours aussi caractériel. Pourtant ce vieux père, Anton l'aimait. Il l'aimait peut-être même plus que cette mère, si belle et cependant aussi insensible que la pierre. Du moins c'est ce qu'il ressentait à ce moment précis de son début de vie.
En proie à ses pensées, il trébucha en voulant se pencher un peu plus. Et il dégringola trois marches, alertant ses parents de sa présence. Le silence entra froidement dans l'entrée, et ce qui suivit restera à jamais gravé dans la mémoire d'Anton.

- Fiston, tu tombes bien ! J'avais justement envie de te raconter comment ta mère me trompait jovialement avec une traînée ! Oui mon garçon ! Tu me diras c'est toujours mieux qu'avec un autre homme, hein ?!

Il criait si fort que le garçon plissait les yeux et tournait la tête.

- Mon Dieu Eric, stop !
- Toi ! Comment oses-tu m'adresser la parole ?!

Et ce fût le premier coup. Les yeux d'Anton s'ouvrir grand d'un seul coup, et les larmes coulèrent enfin. Sa mère était au le sol tellement son père avait mis de force dans son geste. Une main sur la mâchoire, elle se releva doucement, sans regarder son mari. Eric, lui, l'observait fixement d'un oeil noir, haineux et rancunier, sans pouvoir cacher sa peine.
Anton ne bougea pas d'un pouce. Le regard vide, il ne pensait plus à rien, si ce n'est au moyen d'arrêter ce fleuve qui coulait de ses paupières écarquillées. Elle fut sur ses deux pieds quand il y eut un deuxième coup. Cette fois le petit garçon ne put s'en empêcher, et un cri étouffé sortit malgré lui de sa bouche tandis que sa mère pleurait à son tour. Son père la regarda une dernière fois et partit dormir, ou en tous cas partit dans une chambre, à l'étage sans rajouter quoique ce soit.

- Maman, pleurnicha Anton.

Elle ne répondit rien. Sécha ses larmes et elle non plus ne daigna pas croiser son regard avant de se diriger vers le salon.
Le petit garçon, d'à peine dix ans ce soir là, ce recroquevilla en position fœtale en plein milieu des marches, et pleura encore et encore. Toute la nuit durant.

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- Hé, ouais toi là. T'es le fils d'Eric Harris ? Sérieux ?
- Ca te pose un problème ?
- Bah... Nan, j'pensais juste que les fils à papa traîner pas sur nos plates bandes
- Ouais. Moi non plus.

C'était dire à quel point ça l'avait changé. Une simple querelle familiale et le gentil Anton fréquentait les mauvaises personnes aux mauvais endroits. Tous ça sans même avoir atteint 14 ans. Bien sûr, il voulait plutôt échapper à sa vie qu'il trouvait misérable et faire enrager ses parents sans pour autant se mettre à la drogue. Il traînait juste avec ceux qui avaient le plus de chance de mettre ses créateurs en rogne. Ingénieux apparemment, puisque depuis son père s'arrachait les cheveux pour le faire revenir à la raison.

- Et... Je peux savoir ce que tu fais là ? J'veux dire... Pourquoi t'es pas avec tes multi-millionaires ?
- J'en sais rien j'te dis. Je veux vivre, c'est tout.
- Tu continue à aller en cour toi ?
- Pfff, ouais, quand j'ai envie.

Ca faisait trois ans que ses parents s'engueulaient non stop. Et ça lui pesait énormément, surtout ces derniers temps. Il aurait mieux fallut que ses parents divorcent, parce que ça ne se calmait pas. Pas du tout. Eric commençait à vouloir se venger, quand à sa mère, elle lui en voulait tellement qu'elle ne se sentait plus du tout coupable de l'avoir trompé. Alors elle continuait à être la pire des femme au monde, l'insultant en public et dégradant sa réputation d'homme d'affaire puissant.

- De toutes manières, je m'en fou, ça fais deux semaines que je suis au Canada. J'ai le temps.

Oui. Il fallait même déménager pour effacer les catastrophes des trois dernières années. Son père comptait bien sur sa belle et propre réputation de Vancouver pour se refaire une nouvelle vie. Sans rompre avec sa femme. Chose qu'Anton ne comprenait toujours pas.

- Tu commences déjà très fort, fumer devant la proviseur et devenir la cocluche en moins de quinze jours, respect !
- Je compte pas m'arrêter là, comme je te disais, j'ai le temps.

Et l'argent aussi. Mais bon, ça il s'en fichait.
Il continuait ses conneries et faisait semblant d'être un je m'en foutiste profiteur qui croquait la vie à pleine dents sans se soucier du regard des autres et de l'impact que son comportement pouvait avoir sur eux.
Il repris une cigarette, la deuxième depuis que sa petite conversation avec son compagnon de colle avait commencé. Personne ne les surveillait, tout simplement parce qu'Anton s'était déjà mis tous les pions dans sa poche.

- Tu joue dans la cour des grands maintenant...

"- Say it !
- Vampire... "




In Lightning;

• Comment êtes-vous arrivé dans le monde de Lightning ?

24 décembre, la veille de Noël. Je pensais vraiment pas que mes parents mettraient le paquet pile ce jour là. Ils s'étaient engueulés devant la famille tout entière et avaient causés drames, pleurs, cris et bleus en à peine deux heures.
A 22 heures donc, mon grand-père, ce vieux crouton à qui je dois mon foutu prénom, c'est pour une fois montré un tout petit peu pédagogue. Enfin au moins il a essayé. Il m'a mis dans mes couvertures, et a tenté de rester un peu avec son petit-fils, sans voir (normal avec tous les verres de vins qu'il s'était enfilé) que le fait que je lui tourne le dos, recroquevillé dans mon lit n'était pas vraiment bon signe.
Bref, environ 10 minutes plus tard, une fois son discours particulièrement douloureux sur le fait qu'une famille ne peut pas rester soudée et parfaitement heureuse indéfiniment, il redescendit se servir à boire, et je put enfin serrer poings et dents sans craindre qu'il ne remarque ma crispation typique d'une pré-lamentation. Je me détendis petit à petit, en essayant de me rappeler de la belle époque où notre famille était, en effet, parfaitement heureuse, et m'endormis avec l'espoir qu'un jours elle me reviendrais, bien qu'en sachant pertinemment que ce ne serais jamais le cas.


• Avez-vous choisi votre camp ?

Les vampires, ça n'avait jamais vraiment parlé à Anton. Leurs délires de chauves souris avide de sang humain et de long manteau noir, franchement, c'était pas son truc. Même Buffy et Angel le faisait bien rigoler. Mais bien sûr c'était avant qu'il aille à Lightning.
Dès son arrivée sur les lieux, Anton vit un homme, grand et fort, beau et intimidant à la fois. Rien à voir avec ces grandes dents à la télé, oh non ! Il était penché sur le cou d'une jeune femme, belle, elle aussi, et paraissait paisible maintenant. Elle avait du sang sur la nuque et quelques gouttes étaient tombées sur son épaule. Le petit garçon ne quitta pas la scène des yeux et se fit rapidement repérer par le grand vampire. Seulement au lieu de le tuer comme cette fille, il le prit par l'épaule et le fit assoir à côté de lui. Il parlèrent ensemble tout la nuit, de tout et de rien, du bon comme du mauvais, sans s'arrêter. L'admiration pour cet homme avait été immédiate, et il lui appris qu'il n'y avait ni bien, ni mal à proprement parler. Que les limites de ce qui était "bien", c'était Anton qui les fixait. En fait, il lui avait transmis toutes ses croyances et sa manière d'être, plongeant le garçon dans un monde ni blanc ni noir, mais entièrement gris. C'est ainsi que devint alors Anton Harris, un neutre, sans préjugés ni préférences, qui cotoyait tout le monde et personne à la fois. Les anges comme les démons l'acceptait et faisait de lui leur ami, c'est toujours le cas, même après toutes ces années.
Sauf que maintenant, d'élève il est passé à maître et il compte bien transmettre comme l'a fais son "sauveur", à un autre future vampire. La première fut Dylan Thunder, qui est devenue comme sa petite soeur. Il veut à tous prix la protéger et la guider. Même si de ce point de vue là, ce serait elle qui devrait lui donner des leçons sachant qu'elle à choisit le camp du bien, et que c'est justement lui qui essaie de la faire s'ouvrir à l'autre côté de la force, en lui faisant faire quelques bêtises, dont certaines qu'elle regrette amèrement...


• Nom de votre clan :
V A M P I R E



Between you and us;

• Prénom ou Pseudo : Et bah, on va dire Anton
• Age : 17 ans
• Comment avez-vous connu le forum ? Sur Obsession
• Avatar : Alex Pettyfer
• Exemple de RP :

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